On se rappellera qu’en janvier dernier, la CDPDJ avait fermé 15 plaintes déposées par le RAPLIQ en décembre 2011, sous prétexte que les plaignants n’avaient pas vécu de discrimination et n’étaient tout simplement pas d’accord avec les services offerts par la STM.
Outré, le RAPLIQ était allé en révision judiciaire de la décision de la Commission des droits. Le 19 juin dernier, devant le juge Babak Barin de la Cour Supérieure du Québec et défendu par Me Mei Chiu, le RAPLIQ a gagné la première manche qui était de faire renverser la demande de la CDPDJ de rejeter notre requête pour irrecevabilité.